« The Very Scary Forest », est le nom donné au jeu vidéo réalisé par l’artiste Saradibiza. Il est proposé en accès libre et conçu spécialement pour la Chapelle de la Charité.
Invitée par Extramentale pour le festival Octobre Numérique - Faire Monde, ce projet marque la première expositionde l’artiste franco-marocaine née en 1993.
Après un passage aux Beaux-Arts de Paris et à la Villa Arson, Saradibiza décide de s’adonner entièrement à la réalisation 3D. La maitrise de cette technique lui permet très vite de collaborer avecd’autres artistes, telle la musicienne Oklou. C’est aussi, pour elle, une démarche hautement personnelle car cette technique rentre en parfaite adéquation avec l’expression de sa sensibilité. Au fur et à mesure de ses réalisations, postés avec pudeur sur son compte Instagram, la modélisation 3D devient le vecteur d’une écriture automatique qui parvient à se complexifier avec le jeu « The Very Scary Forest », conçu en réponse aux éléments baroque de la Chapelle de la charité.
Néanmoins, les symboliques qui y affleurent dépassent le champ de son intimité ou de la question religieuse. Qu’il s’agisse des liens familiaux, incarnés par le personnage principal du papa renard, du salut "au travail" et du sacrifice écologique, ces thèmes sont traités avec dérision.
Entre carnet intime, film, installation et jeu vidéo, « TVSF, The Very ScaryForest » a également été le fruit d’une travail d’équipe constitué par son cercle d’ami.e.s qu’il convient de citer : Naia Combary et Gil Gharbi (co-écriture), Oklou (musique), Lucien Krampf (sound design), JulietteGelli ~ et Aleksandr Kontini (scénographie), Amal Guichard (dessin numérique), Sébastien Rabaste(sculpture 3D), Ana Madjison (traduction), Géraldine Baux (captation des voix), Ana Madjison,Christopher Soetan, Casey MQ, Gil Gharbi (voix personnages).
Une production Extramentale
Invitée par Extramentale pour le festival Octobre Numérique - Faire Monde, ce projet marque la première expositionde l’artiste franco-marocaine née en 1993.
Après un passage aux Beaux-Arts de Paris et à la Villa Arson, Saradibiza décide de s’adonner entièrement à la réalisation 3D. La maitrise de cette technique lui permet très vite de collaborer avecd’autres artistes, telle la musicienne Oklou. C’est aussi, pour elle, une démarche hautement personnelle car cette technique rentre en parfaite adéquation avec l’expression de sa sensibilité. Au fur et à mesure de ses réalisations, postés avec pudeur sur son compte Instagram, la modélisation 3D devient le vecteur d’une écriture automatique qui parvient à se complexifier avec le jeu « The Very Scary Forest », conçu en réponse aux éléments baroque de la Chapelle de la charité.
Néanmoins, les symboliques qui y affleurent dépassent le champ de son intimité ou de la question religieuse. Qu’il s’agisse des liens familiaux, incarnés par le personnage principal du papa renard, du salut "au travail" et du sacrifice écologique, ces thèmes sont traités avec dérision.
Entre carnet intime, film, installation et jeu vidéo, « TVSF, The Very ScaryForest » a également été le fruit d’une travail d’équipe constitué par son cercle d’ami.e.s qu’il convient de citer : Naia Combary et Gil Gharbi (co-écriture), Oklou (musique), Lucien Krampf (sound design), JulietteGelli ~ et Aleksandr Kontini (scénographie), Amal Guichard (dessin numérique), Sébastien Rabaste(sculpture 3D), Ana Madjison (traduction), Géraldine Baux (captation des voix), Ana Madjison,Christopher Soetan, Casey MQ, Gil Gharbi (voix personnages).
Une production Extramentale
